Vous l'avez probablement déjà entendu ou lu, il y a un durcissement de la législation envers les contrats successifs.

Avant de se précipiter pour communiquer, AbsoluteYOU a décidé, depuis la direction, d'étudier d'abord la législation lettre par lettre et d'en sortir un message clair et compréhensible.

Nous vous entendons demander : je travaille avec des horaires flexibles, étudiants ou des extras, cela aura-t-il un impact sur mon entreprise?

Les nouvelles législations ont toujours un impact, mais nous veillons à ce que vous puissiez continuer à faire des affaires sans souci et avec souplesse.

Concrètement, lorsqu'un étudiant, un ouvrier ou un employé, travaille plus d'un jour consécutif, la demande de contrat doit être faite en une seule fois et non plus jour par jour.

Vous avez bien lu !
Les travailleurs flexibles, occasionnels (extras) et les retraités sont totalement exemptés de ce nouveau règlement.

Comment cela fonctionne en pratique, vous pouvez le lire ci-dessous.


Exemples de cas :


Exemple 1 :
"Tom" est étudiant en emploi et doit venir travailler le vendredi et le samedi soir.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le vendredi pour Tom.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le samedi pour Tom.

L'exemple ci-dessus garantit que Tom dispose de deux contrats individuels pour deux jours consécutifs.

Le gouvernement a décidé que ces demandes de contrat devaient être regroupées. En d'autres termes, le "Restaurant X" doit envoyer une demande de contrat le vendredi, pour le vendredi et le samedi.

À défaut, la contribution de solidarité sera augmentée.
Mais, et c'est là le problème, si cela ne se produit que 39 fois en 6 mois pour Tom, alors il n'y a toujours pas d'augmentation de la cotisation à l'ONSS.

Exemple 2 :
"Tom" est un étudiant en emploi et doit venir travailler le vendredi et le dimanche soir.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le vendredi pour Tom.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le dimanche pour Tom.

Ici, il n'y a pas de problème car il n'est pas question de plus d'un contrat journalier consécutif.


Exemple 3 :
"Tom" est un étudiant qui travaille et doit travailler les lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi.
"Le restaurant X" transmet une demande de contrat le lundi ; pour le lundi et le mardi pour Tom".
"Le restaurant X" transmet une demande de contrat le mercredi ; pour le mercredi pour Tom".
"Le restaurant X" transmet une demande de contrat le jeudi ; pour le jeudi et le vendredi pour Tom". 

Dans l'exemple ci-dessus, il n'y a à nouveau aucun problème car il n'y a pas plus d'un contrat de jours consécutifs étant donné que le lundi et le mardi + le jeudi et le vendredi sont regroupés.
Le mercredi seulement, il y a un contrat de jour.

Qu'en est-il des entreprises qui travaillent sur plusieurs sites et/ou qui dépendent des conditions météorologiques, comme les traiteurs, la sécurité, le nettoyage, les bars d'été ? 
Si l'on peut prouver le besoin de flexibilité, on pourra toujours utiliser des contrats journaliers successifs sans limitation dans le futur.
On ne sait pas encore comment et où argumenter, dès que nous aurons cette information, elle sera communiquée.

  • Le volume de travail dépend de facteurs externes 
  • Le volume de travail des utilisateurs est très fluctuant 
  • Le volume de travail est lié à la nature de la tâche à accomplir. 

Travail Belgique dit ce qui suit : 
" Les contrats journaliers successifs de travail temporaire avec le même utilisateur ne sont autorisés que dans la mesure où l'utilisateur peut prouver le besoin de flexibilité pour l'utilisation de ces contrats. 
Concrètement, cela signifie que l'utilisateur doit être en mesure de démontrer que le volume de travail de son entreprise dépend largement de facteurs externes, qu'il est très fluctuant (par exemple, l'industrie hôtelière sur la côte) ou, plus encore, que la nature du travail à effectuer justifie le recours à des contrats à la journée successifs pour le travail temporaire."

Les entreprises convaincues qu'elles ont un motif légitime de recourir à des contrats journaliers consécutifs peuvent contester le paiement de la contribution. Dans ce cas, ils doivent soumettre une demande de remboursement à la Commission des bons services. Dans ce cas, la nature et l'impact des circonstances particulières doivent être prouvés et démontrés. 


Quelle est la conséquence ?
S'il y a plus de 39 contrats journaliers consécutifs par semestre. 
Si l'on dépasse ce seuil, une sanction administrative est prise par le gouvernement : 

  • De 0 à 39 : 0 euro 
  • De 40 à 59 ans : 10 euros x le nombre de contrats journaliers consécutifs (incl 0-39 min 400 euros, max 590 euros)
  • De 60 à 79 ans : 15 euros x le nombre de contrats journaliers consécutifs (incl 0-59 min 900 euros, max 1185 euros)
  • De 80 à 99 : 30 euros x nombre de contrats journaliers consécutifs (incl 0-79 min 2400 euros, max 2970 euros)
  • Au moins 100 : 40 euros x le nombre de contrats journaliers consécutifs (y compris 0-99 moins 4000 euros)

Un exemple : Un travailleur intérimaire a 64 contrats journaliers consécutifs en 1 semestre. Le montant de la contribution de responsabilité dans cet exemple est de 64 x 15 = 960 €.


Enfin :
Lorsque la limite de 39 jours par employé, par semestre est atteinte, AbsoluteYOU en informe le client.

Chez AbsoluteYOU, nous nous efforçons toujours de trouver une solution flexible pour que le client puisse faire des affaires sans souci. 

Nouvelle réglementation : contribution supplémentaire de solidarité pour les contrats journaliers consécutifs (à partir du 1er janvier 2023).

Vous l'avez probablement déjà entendu ou lu, il y a un durcissement de la législation envers les contrats successifs.

Avant de se précipiter pour communiquer, AbsoluteYOU a décidé, depuis la direction, d'étudier d'abord la législation lettre par lettre et d'en sortir un message clair et compréhensible.

Nous vous entendons demander : je travaille avec des horaires flexibles, étudiants ou des extras, cela aura-t-il un impact sur mon entreprise?

Les nouvelles législations ont toujours un impact, mais nous veillons à ce que vous puissiez continuer à faire des affaires sans souci et avec souplesse.

Concrètement, lorsqu'un étudiant, un ouvrier ou un employé, travaille plus d'un jour consécutif, la demande de contrat doit être faite en une seule fois et non plus jour par jour.

Vous avez bien lu !
Les travailleurs flexibles, occasionnels (extras) et les retraités sont totalement exemptés de ce nouveau règlement.

Comment cela fonctionne en pratique, vous pouvez le lire ci-dessous.


Exemples de cas :


Exemple 1 :
"Tom" est étudiant en emploi et doit venir travailler le vendredi et le samedi soir.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le vendredi pour Tom.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le samedi pour Tom.

L'exemple ci-dessus garantit que Tom dispose de deux contrats individuels pour deux jours consécutifs.

Le gouvernement a décidé que ces demandes de contrat devaient être regroupées.
En d'autres termes, le "Restaurant X" doit envoyer une demande de contrat le vendredi, pour le vendredi et le samedi.

À défaut, la contribution de solidarité sera augmentée.
Mais, et c'est là le problème, si cela ne se produit que 39 fois en 6 mois pour Tom, alors il n'y a toujours pas d'augmentation de la cotisation à l'ONSS.

Exemple 2 :
"Tom" est un étudiant en emploi et doit venir travailler le vendredi et le dimanche soir.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le vendredi pour Tom.
Le "Restaurant X" envoie une demande de contrat le dimanche pour Tom.

Ici, il n'y a pas de problème car il n'est pas question de plus d'un contrat journalier consécutif. 


Exemple 3 :
"Tom" est un étudiant qui travaille et doit travailler les lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi.
"Le restaurant X" transmet une demande de contrat le lundi ; pour le lundi et le mardi pour Tom".
"Le restaurant X" transmet une demande de contrat le mercredi ; pour le mercredi pour Tom".
"Le restaurant X" transmet une demande de contrat le jeudi ; pour le jeudi et le vendredi pour Tom". 

Dans l'exemple ci-dessus, il n'y a à nouveau aucun problème car il n'y a pas plus d'un contrat de jours consécutifs étant donné que le lundi et le mardi + le jeudi et le vendredi sont regroupés.
Le mercredi seulement, il y a un contrat de jour.

Qu'en est-il des entreprises qui travaillent sur plusieurs sites et/ou qui dépendent des conditions météorologiques, comme les traiteurs, la sécurité, le nettoyage, les bars d'été ? 
Si l'on peut prouver le besoin de flexibilité, on pourra toujours utiliser des contrats journaliers successifs sans limitation dans le futur.
On ne sait pas encore comment et où argumenter, dès que nous aurons cette information, elle sera communiquée.

  • Le volume de travail dépend de facteurs externes 
  • Le volume de travail des utilisateurs est très fluctuant 
  • Le volume de travail est lié à la nature de la tâche à accomplir. 

Travail Belgique dit ce qui suit : 
" Les contrats journaliers successifs de travail temporaire avec le même utilisateur ne sont autorisés que dans la mesure où l'utilisateur peut prouver le besoin de flexibilité pour l'utilisation de ces contrats. 
Concrètement, cela signifie que l'utilisateur doit être en mesure de démontrer que le volume de travail de son entreprise dépend largement de facteurs externes, qu'il est très fluctuant (par exemple, l'industrie hôtelière sur la côte) ou, plus encore, que la nature du travail à effectuer justifie le recours à des contrats à la journée successifs pour le travail temporaire."

Les entreprises convaincues qu'elles ont un motif légitime de recourir à des contrats journaliers consécutifs peuvent contester le paiement de la contribution. Dans ce cas, ils doivent soumettre une demande de remboursement à la Commission des bons services. Dans ce cas, la nature et l'impact des circonstances particulières doivent être prouvés et démontrés. 


Quelle est la conséquence ?
S'il y a plus de 39 contrats journaliers consécutifs par semestre. 
Si l'on dépasse ce seuil, une sanction administrative est prise par le gouvernement : 

  • De 0 à 39 : 0 euro 
  • De 40 à 59 ans : 10 euros x le nombre de contrats journaliers consécutifs (incl 0-39 min 400 euros, max 590 euros)
  • De 60 à 79 ans : 15 euros x le nombre de contrats journaliers consécutifs (incl 0-59 min 900 euros, max 1185 euros)
  • De 80 à 99 : 30 euros x nombre de contrats journaliers consécutifs (incl 0-79 min 2400 euros, max 2970 euros)
  • Au moins 100 : 40 euros x le nombre de contrats journaliers consécutifs (y compris 0-99 moins 4000 euros)

Un exemple : Un travailleur intérimaire a 64 contrats journaliers consécutifs en 1 semestre. Le montant de la contribution de responsabilisation dans cet exemple est de 64 x 15 = 960 euros.


Enfin :
Lorsque la limite de 39 jours par employé, par semestre est atteinte, AbsoluteYOU en informe le client.

Chez AbsoluteYOU, nous nous efforçons toujours de trouver une solution flexible pour que le client puisse faire des affaires sans souci.

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